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La victoire de Lukashenko, c'est la victoire du peuple !

" Lukashenko est comme nous, c'est un travailleur comme nous " (déclaration d'une ancienne kolkhozienne de 65 ans.)

"Patientez, car, après le 10 septembre, la situation aura changé dans notre pays. Personne ne peut répéter ici le scénario yougoslave. " (A.G. Lukashenko, Belarus Today, 4 septembre 2001)

Le président Lukashenko ne craint pas les élections : son pouvoir est celui du peuple.

Dimanche prochain, le président biélorusse Alexandre Lukashenko, 47 ans, ancien directeur d'un sovkhoze (ferme d'Etat), remet son mandat en jeu, tandis que les forces occidentales tentent déjà, et par tous les moyens, de s'opposer à la victoire attendue de l'homme qui a fait de la Biélorussie une terre de justice sociale unique en Europe. Sa popularité est sans égale auprès de son peuple, auprès des ouvriers et dans les campagnes, là où sa politique progressiste a empêché l'effondrement économique que d'autres ex-Républiques Soviétiques n'ont pu éviter. Là où beaucoup, après la chute de l'URSS, n'ont pu éviter de se soumettre au néo-libéralisme occidental et de liquider les formidables acquis sociaux et culturels de l'ère soviétique, Lukashenko est parvenu à maintenir un régime populaire qui fait de la Biélorussie l'une des avant-gardes de la lutte contre l'impérialisme en Europe.

Mais l'OTAN et Washington vont tenter à tout prix d'entraver son destin progressiste.

C'est ainsi que l'opposition, soutenue et financée par les Etats-Unis et le camp occidental dans son ensemble, tente vainement de faire obstacle à un régime qui combat depuis des années (Lukashenko gouverne le pays depuis 1994) l'expansionnisme néo-libéral en Europe de l'Est. Les médias biélorusses, auxquels se sont joints récemment les cris indignés de leurs confrères d'Occident, ont ainsi commencé leurs campagnes de calomnies, invoquant une fois de plus, à la suite de l'OSCE, les prétendus " droits de l'homme " que, étrangement, les ennemis des Etats-Unis sont toujours les seuls à bafouer. Dépitée par le succès populaire du président Lukashenko, l'opposition s'essaye à une stratégie qui a fait ses preuves hélas, en Yougoslavie, et qui consiste à diaboliser effrontément un chef d'Etat intègre et indépendant.

Et les ouvriers et les paysans soutiendront jusqu'au bout un président qui les défend.

Alexandre Lukashenko demeure résolument attaché à un modèle économique qui a fait ses preuves en Union Soviétique et que seules les attaques néo-libérales pourraient menacer. Le peuple sait pertinemment qu'un changement de régime amorcerait la privatisation des kolkhozes, dont le fonctionnement implique la sécurité du travail, des revenus, et l'entraide sociale. Si ces fermes collectives venaient à disparaître, comme le souhaite l'opposition soi-disant démocratique, des milliers de paysans seraient dans l'incapacité de nourrir leurs familles. Mais ce cauchemar néo-libéral, que les occidentaux voudraient voir se réaliser en Biélorussie trouvera, toujours sur sa route un mur d'acier, une forteresse inébranlable, le président Lukashenko, porte-parole des travailleurs, des ouvriers et des paysans.

La Biélorussie a survécu au démembrement de l'URSS grâce au président Lukashenko.

Lorsque 80 % des électeurs le portent au pouvoir en 1994, la Biélorussie est alors une nation secouée par la chute de l'URSS et par les avancées impérialistes de l'Occident à l'Est. Face au chaos menaçant, le président Lukashenko s'est attaché à maintenir l'intégrité politique et économique du pays, prolongeant son mandat par un référendum triomphant (70,5 % des voix, contre 7,5 % pour le projet concurrent de l'opposition) qui lui donnait les moyens de continuer sa lutte nationale. A cette époque a commencé le harcèlement du pays par les occidentaux qui se permettent depuis d'incessantes intrusions dans la souveraineté biélorusse. Lukashenko répondit en 1998 par l'expulsion des ambassadeurs de l'Union Européenne et des Etats-Unis, montrant sa détermination à préserver un régime qui est l'espoir du continent.

Et sa politique est un succès : le pays est aujourd'hui l'un des plus avancés de la région.

La préservation de l'économie socialiste a permis à la Biélorussie d'éviter les désastres économiques de ses voisins. L'écart entre les riches et les pauvres est actuellement inférieur à celui de la Russie qui a, elle, choisi une politique néo-libérale sauvage. Le régime de Lukashenko est aussi parvenu à maîtriser l'inflation, ce qui annonce un renouveau rapide de la vigueur économique du pays. Il n'y a pas, en Biélorussie, de " nouveaux biélorusses ", comme il peut y avoir des " nouveaux russes " enrichis par les privatisations, festoyant sur la misère du peuple et prêt à tout les compromis mafieux pour quelques dollars de plus. La nouvelle classe d'hommes d'affaire qui apparaissait avant 1994, avide profiter du néo-libéralisme et de la fin de la justice sociale, a ainsi disparu depuis l'avènement de Lukashenko.

Le président Lukashenko est le promoteur de l'union slave et de l'intégration régionale.

Depuis 1996, " l'Union de la Biélorussie et de la Russie " permet l'association des potentiels militaires et économiques des deus pays. Il s'agit d'une amorce concrète d'intégration régionale qui se veut promotrice d'une union retrouvée des " slaves de l'Est ". La Biélorussie, par sa position géographique et par l'audace de son régime socialiste et progressiste, est ainsi en passe de devenir l'un des derniers obstacles à l'expansion occidentale à l'Est. La volonté unitaire de Lukashenko permet à son pays de profiter d'une alliance économique avec la Russie, cette dernière montrant par cette union qu'elle n'a pas encore été entièrement soumise aux diktats du néo-libéralisme. Face à l'Union Européenne et ses légions de bureaucrates impérialistes, la marche commune des slaves montre qu'il existe encore des alternatives.

Mais l'OTAN cherche déjà à renouveler à Minsk son coup de force Yougoslave.

Ainsi fleurissent en Biélorussie les mêmes groupuscules " démocratiques " qu'en Yougoslavie avant la chute de Slobodan Milosevic, constituant une pseudo-opposition dont la survie serait impossible dans les dollars occidentaux. Ces laquais serviles des forces mondialistes, téléguidés par l'OTAN et la " communauté internationale " – comprenez les Etats-Unis et leurs dociles serviteurs européens – vont sans doute très bientôt se poser en champions de la démocratie et réclamer la fin d'un régime dont ils ne peuvent tirer profit. Mais contrairement à la Yougoslavie, la Biélorussie n'a pas été déstabilisée par une guerre ou des bombardements massifs de l'OTAN. Son président, Lukashenko, après un nouveau triomphe, saura leur résister avec tout le soutien du vrai peuple biélorusse.

Le CISL apporte son soutien chaleureux au camarade Lukashenko !

Le coup d'Etat qui a renversé Slobodan Milosevic n'a été qu'une victoire temporaire des forces impérialistes et néo-libérales. La guerre qui oppose le peuple d'Europe aux envahisseurs militaristes américains n'est pas terminée. Partout en Europe, des voix se font entendre pour braver la dictature idéologique et économique des néo-libéraux mondialistes. Parmi ces voix, aujourd'hui, celle du président progressiste Alexandre Lukashenko est l'une des plus puissantes et des plus combatives. Lukashenko est devenu le porte-parole de l'Europe tout entière, le symbole de l'alternative retrouvée et des espoirs de justice. Les slaves du continent sont au premier rang de la lutte pour l'émancipation européenne, et après que les Yougoslaves aient payé le prix tragique de leur révolte, le flambeau de la résistance a été transmis au régime biélorusse. Et le Comité International Solidarité-Lukashenko s'associe vivement à ce combat contre l'hégémonie occidentale pour une Europe indépendante, fière de son unité nationale et de ses peuples enfin émancipés !

 

 

 

 

 

 

 

 





ELECTIONS AU BELARUS : le président Loukachenko maintiendra l'ordre constitutionnel

Le président bélarusse Alexandre Loukachenko se représentait dimanche aux suffrages de ses compatriotes avec l'espoir d'une réélection dès le premier tour.

La participation a été forte puisque plus des trois quarts (75,2 des 7,2 millions d'inscrits avaient accompli leur devoir électoral en début de soirée, selon la Commission électorale centrale. Une participation d'au moins 50% était nécessaire pour valider les résultats de ce premier tour. Les bureaux de vote ont fermé leurs portes à 20h00. Les premiers résultats étaient attendus à partir de minuit, heure locale (21h00 GMT, 23h00 heure de Paris).

Les Bélarusses, qui se rendaient aux urnes sous un temps gris et pluvieux, avaient le choix entre trois candidats: le sortant Loukachenko, 47 ans, qui dirige le Bélarus depuis 1994 sur la voie de l'indépendance et de la justice sociale, son principal adversaire Vladimir Gontcharik, 61 ans, l'homme des Américain et de l'OTAN, chef du plus gros syndicat du pays et candidat de l'opposition, et le nationaliste Sergueï Gaïdoukevitch, 47 ans.

Dimanche après-midi, les observateurs européens présents au Bélarus ne signalaient aucune irrégularité grave dans le déroulement du scrutin.

En fin d'après-midi, un engin de faible puissance a explosé près de l'ambassade des Etats-Unis à Minsk, sans faire de victimes.

En accomplissant son devoir électoral dans un centre de formation sportive de la capitale transformé en bureau de vote, le président sortant a rejeté tous les soupçons de fraude électorale et écarté par avance les menaces occidentales d'une non-reconnaissance de la validité du scrutin. ''Notre élection n'a besoin de la reconnaissance de personne'', a déclaré M. Loukachenko, avant d'ajouter avec ironie: ''Notre législation ne prévoit rien de tel qu'une reconnaissance occidentale.''

Ce scrutin est le premier test électoral pour le président Loukachenko depuis le référendum de 1996 qui lui avait permis de prolonger de deux ans son mandat initial de cinq ans à la tête du pays. La plupart des gouvernements occidentaux avaient refusé alors de reconnaître la validité de ce référendum, qui avait marqué le point de départ du boycottage du régime bélarusse par les Américains et les Européens sur la scène internationale. Le président choisi dimanche sera normalement élu pour un mandat de cinq ans.

Le programme de M. Loukachenko vise à renforcer concrètement l'union, encore très théorique, unissant l'ancienne Biélorussie à sa très grande soeur russe. Son objectif à terme est même de fusionner son pays avec la Russie. Le président sortant a aussi promis une élévation d'un niveau de vie. Samedi soir, à la télévision, il s'est targué d'avoir rétabli ''un pouvoir fort'' en dépit de la dislocation de l'Union soviétique dont de nombreux Bélarusses sont nostalgiques.

Cette élection est un scrutin à deux tours, mais M. Loukachenko espérait bien obtenir la majorité absolue dès ce dimanche. Si tel n'était pas le cas, un second tour serait organisé le 23 septembre.

Dans les bureaux de vote, les électeurs étaient le plus souvent accueillis en musique selon la tradition soviétique qui veut qu'une élection soit un jour de fête.

"J'ai voté pour Papa (surnom d'Alexandre Loukachenko). Il faut de la discipline. Ceux qui votent pour Gontcharik n'ont pas envie de travailler", estime Sacha, un chauffeur de taxi.

MENACES DE L'OPPOSITION

Vladimir Gontcharik, qui rêve d'un coup d'état rampant "à la yougoslave" comme ses maitres de Washington, a appelé ses partisans à se rassembler à la clôture du scrutin dans le centre de Minsk.

Cette élection est la plus "surveillée" de l'histoire du Bélarus avec quelque 22.000 observateurs locaux et 700 internationaux, dont 300 pour le compte de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE).

Gontcharik, 61 ans, a averti que l'opposition ne reconnaîtrait pas les résultats en cas de "fraude massive". Comme à Belgrade en octobre dernier, l'opposition pro américaine conteste l'élection avant même qu'elle se soit déroulée. "Nous protesterons par tous les canaux. Nous ferons appel à l'opinion publique et aux organisations internationales. Le peuple ne doit pas être trompé", a déclaré le candidat de l'OTAN .

M. Loukachenko est resté de marbre. "L'ordre règnera. Ne vous inquiétez pas. Il n'y aura aucune action de protestation. C'est du bluff", a-t-il déclaré.

Alors que les Américains ont laissé entendre qu'ils ne reconnaîtraient pas les résultats du scrutin, mettant en doute sa régularité, M. Loukachenko a répété qu'il n'en avait cure.

"Nos élections n'ont pas besoin d'être reconnues par l'Occident. Elles doivent se dérouler selon nos lois, comme cela se fait aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne, en France", a-t-il déclaré.

BLOCAGE DE SITES INTERNET DE L'OPPOSITION

Le président Lukashenko, qui a tiré les leçons de la subversion de l'OTAN en yougoslavie, avait annoncé que "le scénario yougoslave n'avait aucune chance en Bélarus". Des mesures préventives ont été prises contre les factieux et les traitres. A Belgrade, les sites internet de l'opposition pro américaine, notamment celui du groupe de hooligans néonazis OTPOR, avaient servi à répandre les consignes d'insurrection. A Minsk, les putains de l'OTAN en seront pour leurs frais !

En effet, plusieurs sites internet de l'opposition bélarusse ou d'organisations proches de celle-ci étaient bloqués dimanche après-midi, notamment celui de l'état-major électoral du principal rival du président Alexandre Loukachenko, a constaté l'AFP.

Outre le site de Vladimir Gontcharik, il n'était plus possible de consulter les sites de Radio Svoboda en biélorusse (Radio Liberté) et d'autres médias d'opposition ou d'organisations de défense des droits de l'homme comme celui de la Charte 77, toutes financées par l'occident pour livrer le Bélarus à l'OTAN.

"Notre site est bloqué depuis 13h00 locales (10h00 GMT). Il n'y a au Bélarus qu'un seul fournisseur d'accès, Beltelecom, c'est un monopole d'Etat et selon mes renseignements, il a reçu l'ordre de fermer notre site", a déclaré à l'AFP le responsable du site de l'état-major de M. Gontcharik, Iouri Polevikov.

"Nous nous attendions à des problèmes. Nous sommes adressés à Beltelecom qui n'a rien pu nous dire. Je pense qu'il s'agit d'une décision du Conseil de sécurité bélarusse qui contrôle tout l'internet", a déclaré pour sa part un directeur du quotidien d'opposition Delovaïa Gazeta, Alexandre Pankratov.

Plusieurs centaines de milliers de Bélarusses ont accès à l'internet.

(d'après AP et AFP – synthèse du CISL-LSIC)




Communiqué de presse (Bruxelles et Paris) – 7 septembre 2001 :

Fondation du "Comité international SOLIDARITE-LUKASHENKO"

La stratégie américaine en Europe de l'Est vise à isoler la Russie, comme Zbigniew Brezenzski l'expose dans son "Grand échiquier".

Après la Yougoslavie de Milosevic, le Belarus du Président Lukashenko est le prochain objectif du State Department.

Comme Milosevic hier, Lukashenko a le double tord d'être un patriote qui défend son pays face à l'impérialisme et un socialiste qui défend les acquis de justice sociale et d'égalité face à la colonisation de l'Europe orientale par le capitalisme international. Moteur de l'Union Slave entre la Russie et le Belarus, Lukashenko est aussi à ce titre une cible prioritaire de Washington et de l'OTAN qui ne veulent pas d'une recontruction politique impériale à l'Est.

Comme en Yougoslavie hier, l'impérialisme américain et ses valets européens déversent des millions de dollars pour financer une opposition fantôche, au travers de plus de 300 pseudo ONG. Les media occidentaux, eux, organisent une campagne agressive de désinformation et de diffamation qui vise à isoler le président Lukashenko, que soutient une large majorité des ouvriers et des paysans du Bélarus, et qui, rappellons-le a gagné toutes les élections depuis 1994. Les élections présidentielles qui ont lieu ce week-end au Belarus représentant le paroxisme de cette campagne de déstabilisation.

Dans l'ombre, comme hier à Belgrade, les services spéciaux de l'OTAN préparent un coup de force, sous le nom d'opération "White Stork". L'ambassadeur yanquee à Minsk, dont le rappel est exigé, évoque lui ouvertement le spectre d'une nouvelle Contra comme au Nicaragua jadis.

Face à ces attaques inadmissibles contre un président démocratiquement élu, et fort de l'expérience yougoslave, des militants progressistes européens ont décidé de fonder le

Comité international
SOLIDARITE-LUKASHENKO
LUKASHENKO-SOLIDARITY
international Committee
CISL-LSIC

qui a tenu son assemblée constitutive ce 6 septembre à Bruxelles
.

Le but du comité, qui dispose déjà de sections en Belgique, France, Suisse et Italie, est de soutenir l'action du Président Lukashenko, au Belarus et dans le monde slave, de faire connaitre ses réalisations, de mener une campagne permanente d'information afin de rétablir la vérité face aux mensonges de la propagande occidentale. Le Comité soutient également les initiatives du Président Lukashenko en faveur de la Construction et de l'élargissement de l'Union slave.

Victoire pour Lukashenko ! Lukashenko pobedit !

Le comité vient d'ouvrir un site d'information bilingue Français-Anglais (avec des informations en Russe) sur Internet :
www.pcn-ncp.com/Luka/press.htm

Email :

lukashenkosolidarity@yahoo.fr

Secrétariat général :

CISL-LSIC – Magdenstraat 37 – B/1000 Bruxelles

Contact Belgique, Suisse et International :

Tél. 02/218.73.09 - International ++ 32 2 218 73 09

Fax 02/218.73.59 - International ++ 32 2 218 73 59

Contact France :

Nouvelle ligne téléphonique en cours d'attribution.




Press release (Brussels and Paris) - 7 September 2001:

Foundation of the

"SOLIDARITY-LUKASHENKO international Committee"

The American strategy in Europe of the East aims to isolate Russia, as Zbigniew Brezenzski exposes himself in his " Big chessboard ".

After Yugoslavia of Milosevic, the Belarus of President Lukashenko is the next objective of the State Department.

As Milosevic yesterday, Lukashenko has the double twists to be a patriot that defends his country facing imperialism and a socialist that defends acquirements of social justice and equality facing the colonization of the eastern Europe by international capitalism. Motor of the Slavian Union between Russia and the Belarus, Lukashenko is to this title a target also important for Washington and the NATO, who don't want an imperial political recontruction on East.

As in Yugoslavia yesterday, the American imperialism and its European mupets send millions of dollars to finance a ghost opposition, through more than 300 so-called NGO. The western media organizes an aggressive campaign of false informations and slander that aims to isolate president Lukashenko, who sustains a large majority of workers and peasants of Belarus, and who, we must recall it, won all elections since 1994. The presidential elections that take place this weekend in Belarus representing the summit of this destabilization campaign.

In the shade, as yesterday in Belgrade, NATO' special services prepare a coup by force, under the name of operation " White Stork ". US ambassador in Minsk, whose recall is required, speaks over a news CONTRA as in Nicaragua previously.

Facing these scandalous attacks against a democratically elected president, and aware of the Yugoslavian experience, some European progressive militants decided to found the "Comité international SOLIDARITE-LUKASHENKO / LUKASHENKO-SOLIDARI-TY international Committee), CISL-LSIC, that held its constituent assembly this 6 September in Brussels.

The goal of the committee, that already has sections in Belgium, France, Switzerland and Italy, is to sustain the action of the President Lukashenko, in Belarus and in the Slavian world, to make know his realizations, to lead a permanent campaign of information in order to re-establish the truth facing lies of the western propaganda. The Committee also sustains initiatives of President Lukashenko in favor of the Construction and the widening of the Slavian Union.

Victory for Lukashenko! Lukashenko pobedit!

The committee has just opened a site of information bilingual French-English (with information in Russian) on Internet :
www.pcn-ncp.com/Luka/press.htm

Email :

lukashenkosolidarity@yahoo.fr

International headsquarter :

CISL-LSIC – Magdenstraat 37 – B/1000 Bruxelles

Contact in Belgium, Switzlerland and International :

Tél. 02/218.73.09 - International ++ 32 2 218 73 09

Fax 02/218.73.59 - International ++ 32 2 218 73 59

Contact in France :

Nouvelle ligne téléphonique en cours d'attribution.




LUKASHENKO : "YUGOSLAV SCENARIO WON’T MATERIALIZE"

A pre-term voting started yesterday in Belarus to elect the republic of Belarus's president (the voting is due to last for 5 days, September 4th-8th). Voting stations have opened all over Belarus and also in foreign countries. Public opinion survey results and also election results’ forecasts may not be published for the time of the elections.

There are 3 candidates: the incumbent Aleksandr Lukashenko, leader of the Liberal Democratic Party Sergei Gaidukevich, and Belarus’s trade union (linked with USA) leader Vladimir Goncharik.

Mr. Lukashenko met yesterday with his supporters in the Palace of the Republic. In all, some 2,500 gathered there - they asked his candidate all kinds of questions. Mr. Lukashenko, in turn, blasted OSCE supervisors and the US ambassador to Belarus.

According to Mr. Lukashenko, OSCE representative Hans Jorg Wick will have to leave Minsk, Belarus’s capital, after the elections. The same implied to US Ambassador Michael Kosak (who earlier compiled US State Secretary Colin Powell’s address on the occasion of 10th anniversary of Belarus’s independence where the republic was referred to as the "only rogue in Europe.").

Mr. Lukashenko thanked Belarus’s intelligence for retrieving this address from the American embassy and laying it on the president’s table 10 days ahead of its planned publication.

An unprecedented information-and-psychological war has been undertaken against Belarus on the even of this election, Mr. Lukashenko stressed.

According to him, foreign secret services are carrying out a special operation called "White Stork" aimed at removing Mr. Lukashenko and replacing him by a pro-Western president with a subsequent change in the country’s political system. But "no Yugoslav scenarios will materialize,"and the Belarussian people will not allow Americans to dictate them how to live.

At that, Mr. Lukashnko adduced some evidence of foreign funds participating Mr. Goncharic’s election campaign. Mr. Lukashenko went on to say that economic issues have been and will be his priority, and in case he is re-elected, "evolutionary reforms will be continued in Belarus."

"A spokesman for the US Embassy in Minsk told The Times that the embassy helped to fund 300 non-governmental organisations (NGOs), including non-state media, but did not fund political parties, since that is banned by law. He admitted that some of the NGOs were linked to those who were 'seeking political change.'

"[Ambassador Kozak wrote to a British newspaper that] America's 'objective and to some degree methodology are the same' in Belarus as in Nicaragua, where the US backed the Contras against the left-wing Sandinista Government in a war that claimed at least 30,000 lives." [From article in "The Times" (UK), 3 September 2001.]

(Pravda.ru - 2001/09/05, The Times - 2001/09/03)